Triste nouvelle

Je vous demande d’être attentifs,
Braves gens.
Mes prochains mots seront corrosifs,
Et navrants.

Oui, c’est une funeste nouvelle,
Que je vous apporte.
Elle me vient de l’hirondelle,
Qui est venue frapper à ma porte.

Elle qui annonce habituellement le printemps,
Et les jours ensoleillés.
Elle m’a confié que sont venus les temps,
De longues morosités.

Essuyant une larme elle me dît,
Que le soleil s’en est allé.
Que les parfums en poésies,
Ne seront plus renouvelés.

Car ce matin la liberté,
Est devenue martyre de l’arrogance.
Car oui ils ont osé,
Sont morts les poètes d’espérances.


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