Les années passent et meurent,
Les étés, là-bas.
Et la vielle demeure,
Toujours restera.
Dans un coin de ma tête,
Dans un espace au cœur.
Et toutes les tempêtes,
Resteront valeur.
Là-bas où les oiseaux jamais ne se lasseront,
De chanter la vie, simplement.
Et où par ta voix,
Je bâtirais, autour des gens.
Cette philosophie qu’est la tienne,
Toi la vieille demeure.
Et toujours tu seras mienne,
Resteront mes années bonheurs.